Comment sera le pays demain ?

L’avenir est toujours incertain. Une incertitude qui ne convient en rien à l’espèce humaine. Notons que la notion de contrôle est un concept proprement humain. Dans cet ordre, connaitre l’avenir est indispensable afin de mieux l’appréhender. Comment sera demain ? Telle est la question que tout le monde se pose en commençant par les spécialistes.

Un inévitable changement à venir

Le monde, dans un cadre général, a grandement évolué au fur et à mesure du temps. On parle de changement pour atteindre l’excellence dans certains cas et des changements obligatoires dans d’autres. En effet, l’homme est amené à s’adapter aux contraintes qui lui sont imposées. Dans cet ordre, ce sont les contraintes de son environnement qui dictent les changements à venir dans sa vie. En outre, un système est toujours voué à changer. Dans le cas de la situation actuelle dans presque tous les pays, on enregistre des révoltes prenant plusieurs aspects. Par exemple, les employés ne peuvent se complaire aux conditions de travail actuelles. De leurs côtés, les employeurs se révoltent contre les restrictions financières ou encore contre l’ingérence venant du gouvernement. Ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres, mais d’une manière générale, tout le monde se révolte contre quelque chose et cette situation amènera obligatoirement à un changement dans le futur.

Notons que la révolte contre les mauvaises choses et les mauvaises situations est obligatoire. Cela amènera à des changements fondamentaux. Seulement, les résultats exacts de ces changements sont difficiles à prédire. On ne sait pas forcément quelle nouvelle structure surgira de tout ce tumulte. La dictature et la satisfaction générale sont des possibilités de résultats.

Les changements au niveau social

La politique dispose d’un rôle vital face à l’avenir du pays. Ce sont les choix faits dans le domaine de la politique qui engendrent des changements dans tous les pays du monde. Seulement, l’objectif général de la politique est l’intérêt commun et donc la priorisation du plan social. Il est donc clair que ce dernier sera le plus impacté par les changements futurs. Après tout, tant la politique que toutes les formes de collectivités tendent à prioriser l’intérêt commun. Le but étant de permettre à tout le monde d’être pleinement satisfait.

Ainsi, le pays, dans le futur, devrait permettre à tous les citoyens d’avoir une vie plus sereine. Cela par le biais d’une meilleure accessibilité et une acquisition plus simple de différents types de biens. Certes, chaque individu dispose de ses propres envies et de ses propres besoins, mais le système futur devrait prioriser l’atteinte des objectifs fondamentaux. On parle notamment de la sécurité économique et de la liberté personnelle.

La sécurité économique concerne surtout la possibilité pour tout le monde d’accéder aux choses basiques de la vie comme la nourriture, la culture, la santé, le logement ainsi que l’instruction.

Quant à la liberté personnelle, elle est d’un rang plus élevé que la sécurité économique puisqu’il s’agit d’offrir à tous la possibilité de faire comme bon leur semble dans la limite du possible.

Le choix entre le crédit social et le socialisme

Pour le futur, deux courants de pensée resteront en lisse et détermineront l’évolution sociale.

Tout d’abord, il y a le socialisme qui prône surtout la sécurité économique. Une forme de sécurité qui se paiera obligatoirement par une part de la liberté personnelle de tout un chacun. Notons que tous les gouvernements vont dans ce sens au lieu de changer le système financier forçant tout un chacun à se sacrifier pour de l’argent. C’est donc en acceptant la centralisation, le dirigisme ainsi que le contrôle de l’état que le socialisme garantira la sécurité économique pour tous.

D’autres parts, l’école créditiste n’adopte en rien cette doctrine. Ici, le futur promis devrait garantir à tous la sécurité du capitaliste. On parle d’un système qui permettrait à chaque individu de rentabiliser son argent. Ici, l’école créditiste considère tout le monde comme cohéritier d’un capital communautaire et ce sont les travailleurs qui s’occuperont de son rendement.